الجمعة، 20 يونيو 2008

mp3 music pour Warda Al Jazairia

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Warda Al Jazairia appelée aussi Warda est une chanteuse algérienne née en France en 1940.

Née à Puteaux d'un père algérien (Mohammed Ftouki) originaire de Souk-Ahras et d'une mère libanaise en 1940, elle commence à chanter en 1951, à l'âge de onze ans, au Tam-tam, un établissement du Quartier-latin appartenant à son père. Elle se fait rapidement connaitre pour ses chansons patriotiques algériennes. En 1958, suite à ses chansons, elle est obligée de quitter la France pour Beyrouth. Après l'indépendance de l'Algérie, elle retourne en Algérie et se marie en 1962. Son mari lui interdit de chanter. En 1972, le président algérien Houari Boumediene, lui demande de chanter pour commémorer l'indépendance de l'Algérie, ce qu'elle fait accompagnée d'un orchestre égyptien. Suite à cela, son mari demande le divorce; C'est ainsi qu'elle décide de consacrer sa vie à la musique.

Warda part vivre en Égypte, où elle rencontre le compositeur Baligh Hamdi avec qui elle se remarie. En Égypte, elle connait un grand succès en travaillant avec les plus grands compositeurs arabes, comme Mohamed Abdelwahab ou Sayyed Mekkawy. De plus, elle a tenu quelques grands rôles dans des films égyptiens. Elle a vendu plus de 20 millions d'albums à travers le monde pour un répertoire musical comprenant plus de 300 chansons. Ses chansons les plus connues sont "lola el malama", "batwannes bik", ""harramt ahibbak", "wahashtouni" ou "awqati btehlaw".

Installée au Caire en 1960, Warda a réalisé la synthèse parfaite entre tradition et
modernité en appliquant la formule : "Ce n'est pas à l'art de se renouveler mais à
l'artiste." (Mohamed Abdelwahab) .
La plus grande cantatrice actuelle du Monde arabe est née à Puteaux, près de Paris en juillet 1940 d’un père algérien et d’une mère libanaise, Warda débute le chant à l'âge de 7 ans. Fascinée par l'Orient, mais aussi par la chanson réaliste française et en particulier celle d'Edith Piaf, elle a dû apprendre l'arabe pour se lancer dans une carrière fertile en rebondissements. Son élégance a beaucoup contribué à sa popularité.

« Nar El Ghera » est le morceau qui a donné un deuxième souffle à la carrière de Warda en lui permettant de gagner un public jeune tout en maintenant des liens très forts avec ses fans de la première heure. Avec la complicité de Omar Bateesha et de Salah El Sharnobi, elle a réussi une excellente synthèse entre la modernité la plus audacieuse et la tradition la plus précieuse. En arabe, « Nar El Ghera » signifie « le feu de la jalousie, celui qui brûle les amants mais aussi les rivales les plus enragées de Warda comme la Marocaine Samira Ben Saïd ou la Syrienne Mayada El Hannawi. Ce sentiment incendiaire n’a cessé d’embraser la carrière de Warda, avec mission de la contrarier : jalousie du sérail artistique égyptien qui, depuis son installation au Caire en 1960, voyait d’un mauvais oeil la réussite d’une étrangère, jalousie d’un mari ancien maquisard épousé après l’indépendance de l’Algérie et pour qui elle avait renoncé pourtant à la chanson pendant neuf ans, jalousie parce qu’elle s’est mariée avec Baligh Hamdi, le modernisateur inspiré de la musique arabe alors au summum (elle en divorce en 1978) et, enfin, jalousie lorsqu’elle prend un virage jeel (dance music de la nouvelle génération), affrontant ainsi, avec succès, des jeunes stars qui l’avaient enterré trop vite.

En France, on la connaît surtout à travers le titre "Harramt Ahebbak" (J'ai juré de ne plus t'aimer), popularisé par une émission de Frédéric Mitterrand et par la bande originale du film "Elisa". Ce titre très dansant, écrit en 1993 par Salah Charnoubi, un jeune compositeur, a permis à Warda un retour en fanfare et une reconquête du grand public.

Depuis 1957, malgré quelques interruptions, Warda a interprété près de trois cent chansons et vendu vingt millions d’albums et cassettes à travers le monde. Elle a traversé plusieurs époques et croisé sur son chemin les grands du monde, qu'ils soient politiques (Nasser, Sadate, Kadhafi, Boumediène, Bouteflika...) ou artistes (Farid El Atrache, Mohamed Abdel Wahab, Georges Moustaki...). Comme Abdel Halim Hafez, elle a révolutionné le modèle en transformant ses prestations en shows où elle bouge, sourit et communique avec l’assistance. Mieux, elle est celle qui a chanté le patrimoine arabe dans son ensemble en réussissant la jonction Maghreb-Machrek.music mp3 video clip 2013 .

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