الجمعة، 27 نوفمبر 2009
Essiham
Le groupe Essiham (ou Assiham) chante souvent en "Arabe littéraire". Le groupe Essiham ne vit pas de ses chansons (la majorité du groupe sont des Cadres), la chanson est vraiment une passion.
Étrangement, le groupe Essiham est plus connu dans d'autres pays arabes mais peu de marocains le connaissent.
Essiham ce sont les fils du peuple, ils représentent le vrai MAROC celui des souches défavorisées qui encaissent en silence.
Essiham chantent leurs problèmes, leur vécu, leurs soucis, leur quotidien qui n'est pas tellement rose.
Et quand on parle d'Essiham on sous-entend : Nass el Ghiwane, Jil Jilala et Lemchaheb. Ils étaient le port- parole des jeunes de l'époque : les années soixante-dix dont je faisais partie, on a tous été emportés par cette vague (les groupes marocains) qui a déferlé sur le Maroc.
C'est un peu le même engagement que Nass El ghiwane à quelque chose près.
الاثنين، 17 أغسطس 2009
Hassan El Berkani
Hassan El Berkani est un jeune chanteur marocain de chaabi
.: 3lache 3lache
.: Allo allo
.: Almouni mazal sghir
.: Arwah tchouf rwah
.: Choufou choufou
.: Daha lbato
.: Dalmoha
.: Dawha l9adi
.: Dik zarga dawha
.: Dwito
.: Ellil
.: Fra9 had lmahna
.: Malek Ya Rajel
.: Mali mali
.: Mouchkila mouchkilti
.: Nsibti nsibti
.: N Basse Alik
.: Radiya jaya
.: Sabri yalahbiba
.: Wana khoukoum ghi 3robi
.: Ya moule taxi
الجمعة، 5 يونيو 2009
Jil Jilala
Jil Jilala est une groupe musicale marocaine créée à Marrakech en 1972, composée de six membres dont un membre féminin.
A l'origine Jil Jilala se cantonne dans un répertoire musical inspiré de musique à rythmique gnawi ou de musique folk, Depuis 1986, les compositions de ce groupe s'orientent vers le reggae et le rai.
Le groupe Jil Jilala s’est illustré par des chansons portant sur des sujets d’actualité, qui expriment les préoccupations du citoyens lambda avec une musique inspirée du style gnawi.
Le groupe ne tardera pas à se forger une renommé dans le monde de la musique. Le 7 octobre de la même année, les quatres jeunes marrakchis donnèrent leur premier spectacle devant plus de 2000 spectateurs. Les succès se succédèrent et trois mois plus tard ils jouèrent à l’Olympia de Paris. Jil Jilala
Leur nom "Jil Jilala" est inspiré d’une confrérie des Jilala. Le groupe s’inspira des objectifs de la confrérie pour véhiculer leur message à travers l’art musical. Les cinq membres du groupe reposent dans leur musique sur les mélodies et les rythmes du folklore marocain en traitant des thèmes de la vie quotidienne. Leurs chansons ont unifié plusieurs générations. Jil Jilala
Depuis ils ont continué leur chemin et 32 ans après la création de "Jil Jilala", le groupe continue de nous faire vibrer sur les rythmes d’une musique marocaine. C’est à eux qu’on doit l’inoubliable Chamaa, Laayoun Ayneya, Jlatni Ryahek et plusieurs autres titres gravés à jamais dans la mémoire marocaine qui ne nous laissent pas indifférents.
Jil Jilala est une génération née au début des années 1970. La troupe fondé, conjointement par My Abdelaaziz Tahiri et Mohammed Derham, s'inspire des objectifs de la confrérie à travers l'art musical. A l’époque, les confréries ont pour fonction de reprendre les choses en main pour réguler la société. la jeunesse était abreuvée de chansons égyptiennes, européennes, américaines… La question qui se posait alors était de savoir les raisons pour lesquelles l’identité marocaine, avec sa civilisation et sa culture, était absente des ondes. Jil Jilala
La réponse de Jil Jilala est claire : « Notre musique repose sur les mélodies et les rythmes du folklore marocain, mais nous abordons des thèmes de la vie quotidienne des citoyens, les problèmes sociaux. Toutes les générations se sont retrouvées dans nos chansons. Jil Jilala avait un message à faire passer dans les années 70. Puis dans les années 80, la nouvelle génération s'est intéressée au raï, qui a mené la danse pendant une quinzaine d'années. Mais le public marocain, lassé de ses paroles qui ne disent rien, est revenu vers Jil Jilala. Depuis l'an 2000, notre carrière redémarre en force. Momo (jeune groupe en vue de la mouvance électro-orientale londonienne, ndr) veut faire un album avec nous. Nous devons enregistrer à Londres avec eux en décembre 2002 ». Jil Jilala
C’était justement en septembre 1972 que l’aventure Jil Jilala avait vu le jour. C’est la date à laquelle la troupe a enregistré trois chansons à la télévision marocaine .
الثلاثاء، 5 مايو 2009
Samira Said
Samira Said , Cela faisait presque 30 ans que Abdel Halim déclara une fois que cette fillette deviendra un jour une star fameuse dans le monde arabe. Elle a connu des grands succès avec des chansons marocaines tel que wa3di, sidi oula bihiri, fayetli sheftak, kifesh fata7t galbi, Bitaqat 7ob.. Cette fillette qui chantait avec assurance devant les caméras de la télévision marocaine il y a une trentaine d'années dans le cadre de la célèbre émission de variétés " Mawahib ", ne pouvait ne pas avoir d'avenir florissant. Son talent sautait aux yeux, même des non-avertis les solliciteurs du monde musical eux, misaient avec certitude sur cet espoir. Ils ne seront pas démentis. Loin de là.
Samira Said, exigences de la scène obligent, a fait plus que marquer. Elle s'est hissée, à force d'acharnement, au premier rang des stars de la chanson arabe, et y demeure depuis des années renforçant à chaque nouvel album une position quelle ne semble pas prête de quitter.
Le chemin semble avoir été tracé de tous temps. Des premiers pas prometteurs, des rencontres marquantes, notamment celles de Baligh Hamdi, Abdelwahab, Mohamed El Mougi, Sayed Mekaoui ainsi que Faïza Ahmad et son mari Mohamed Soltan, et voilà Samira qui débarque au Caire, forte d'un immense talent et des encouragements de ceux qui avaient cru en elle.
Après un passage au conservatoire, ce sont les premières oeuvres. Son amie Faïza Ahmad demanda de Mohamed Soltan de signer deux chansons pour Samira c'étaient " El 7ob elli Ana 3aycheh " et " Eddounia Kedah " qui, même si elles ne furent pas de grands succès, permirent à Samira d'esquisser ses premières marques sur la scène de la musique arabe.
La rencontre avec Baligh Hamdi allait enrichir considérablement le répertoire de la jeune marocaine. Ce seront coup sur des chansons que lon fredonnera partout dans le monde arabe : "Ben lif", "sayidati sadati", "malich 3enwan", "akher hawa".
Les ponts n'ayant jamais été rompus avec Mohamed Soltan, les retrouvailles se solderont pas "Hikaya", "Methaya'li" et "Ellila deh" Kassid yakoulouna "3anni kathiran".
Pourtant, le tube explosif que présageait le talent de Samira n'était pas encore au rendez-vous. Ses collaborations avec de grands noms qui donnèrent certes des titres aussi appréciés comme Mohamed El Mougi par ya dam3iti haddi, Khaled el Amir par choft 7abibi, Helmi Bakr par Ech gab li gab", "lilet el ouns", "amrak 3ajib", "men ghir sabab" , mais le grand coup, celui qui allait vraiment faire la différence, tardait à venir.
C'est Baligh Hamdi qui enfin propulsa Samira au firmament. La merveilleuse chanson " 3allemnah el Hob ", quelle la présenta comptant pour le festival des layali al télévision au Caire en 1983.
Le coup d'envoi était donné. Samira, désormais super star, continuera sur sa lancée avec Baligh Hamdi accumulant des succès comme "ketr al kalam", "asmar malak" et "malak moch zay 3awaydak".
Gamal Salama, quant à lui, lui donna la bombe "Al gani ba3d youmin" qui embrasa longtemps les Hit parades. Le nouveau couple ne s'arrêtera pas en si bon chemin et larguera une autre bombe sur la scène : "moch7atnazel 3annak abadan".
Après cela, Samira et après ces grands succès n'avait plus rien à prouver en Egypte. Un autre défi se profilait que la position de la super star ne lui permettait pas d'occulter. Elle fera cap sur le Golfe où elle travaillera avec les plus grands : Talal meddah, Abderrab Idris, Seliman El Malla, Youssef Mahana et enrichira son répertoire de titres comme "Ya ebn al Halal", "tisaddeg, Hatouli 7abibi", "sindibad", "ghariba", "A7ad sa'al Aani".
Les vents soufflant désormais en faveur de la chanson moderne légère, un coup de gouvernail s'imposait. Samira le fera en temps opportun, se tournant vers des jeunes compositeurs pleins de talent comme Salah Charnoubi, Riadh Hamchari, Mohamed Dhia'a signalant des albums tel que Ensani, Khayfa, 3ach2a, Enta 7abibi, Kol de echa3at, 3al bal, rou7i et Lila 7abibi D'autres en ont été pour leurs frais. Mais pour Samira, le succès est encore une fois au rendez-vous. Et ichaallah elle continue ses succès pour rester sur le top .
الثلاثاء، 7 أبريل 2009
الأربعاء، 4 مارس 2009
Najat Aatabou
Najat Aatabou : Au Maroc, la Berbère Najat Aatabou, grande star de la chanson populaire châabi au royaume de Mohammed VI, tient une sorte de courrier du cœur, s’inspirant " des lettres, très nombreuses, que je reçois des femmes qui m’écoutent puis me racontent leurs problèmes. Et je les résous en chantant.
"Et quels sont les douleurs des femmes marocaines ?" Comme partout, des blessures d’amour. Des maris infidèles, des foyers parallèles, des mensonges. " Comment cette infatigable joueuse de mots, alignant des strophes (en arabe, parfois en tamazight, l’une des trois langues berbères du Maroc) comme une rappeuse du Bronx, traduit-elle ces blessures ordinaires ? " Eh bien, par exemple, j’ai une chanson, Souerret (Ces clés sont à qui ?). La femme prend le trousseau du mari, et passe en revue les clés les unes après les autres, la porte d’entrée, le garage, le bureau, et l’une ne correspond à rien... "
Femmes trompées, jalouses, jamais soumises, telles sont celles qui peuplent l’univers des chansons écrites par Najat Aatabou, qui fustige " l’homme qui ment toujours ", inventant travail et réunion, ou celui qui abandonne son épouse enceinte en prétextant que l’enfant n’est pas de lui. Au passage, elle s’en prend aux maîtresses, et cela fait un tube, Choufi Ghirou (Cherches-en une autre). Du groupe-phare de l’opposition marocaine, Nass-el-Ghiwan, elle dit simplement : " Eux, ils font de la chanson engagée. " Chapeau à large bord, maquillage impeccable, manteau à motifs panthère, Najat Aatabou promène des allures de star, légitimement. Enceinte, la " lionne de l’Atlas " a momentanément abandonné ses tailleurs-pantalons de cuir noir, au profit d’une robe de velours cernée de perles. A quelques jours d’un retour à l’Olympia, où elle avait fait ses débuts français en 1984, Najat Aatabou revient sur un parcours qui l’a menée de sa ville natale de Khemisset, dans le Moyen Atlas, au triomphe. En 1981, Najat Aatabou chante dans un mariage une chanson inspirée d’une histoire vraie : une de ses amies part en voyage, et à son retour son fiancé est mort. " J’en ai marre, j’en ai marre ", psalmodie la jeune femme.
Dans l’assemblée, un joyeux bootlegger enregistre secrètement la voix vibrante de Najat Aatabou. Quelques semaines plus tard, alerté par la radio et les cassettes pirates, le petit peuple marocain fredonne la chanson de cette inconnue dont on ignore le visage, le nom, l’identité. Najat entend sa voix par hasard en faisant ses courses. Sa famille aussi. " Je n’étais pas contente, dit-elle aujourd’hui. Je voulais faire des études, devenir avocate, mais... mektoub. Je suis tombée malade, clouée au lit. J’étais terrorisée par la réaction de mes frères. Chanter, pour une femme, était synonyme de mauvaise vie. " Najat se réfugie à Casablanca, et signe un contrat avec les éditions musicales Hassania. Bannie pendant plus de trois ans par sa famille, elle en fait une chanson, Ma mère qu’est-ce que j’ai fait ? Excuse-moi, c’est le destin qui nous a séparées, qu’elle vient de reprendre en duo avec Neneh Cherry. Najat Aatabou n’est pas à proprement parler une chikha, chanteuse traditionnelle à la parole libre, à l’instar des chikhates du Moyen Atlas. Celles-ci incarnent une tradition paysanne où le rythme est donné par le bendir et la mélodie appuyée par le luth lotar, tandis que Najat Aatabou en provoque le dévoiement urbain, synthétiseur et électrification en conséquence.
الأحد، 4 يناير 2009
Mohamed Rouicha
Mohamed Rouicha est un Chanteur berbère à la voix chaleureuse, Mohamed Rouicha est aussi un spécialiste du "Ouatar", un instrument marocain rarement joué et semblable à une sorte de Oud, plus rustique.
Artiste ayant acquis une renommée nationale en tant qu'interprète des chants amazigh et arabe, il a réalisé plusieurs albums salués par le public marocain.
Le célèbre chanteur populaire, amazigh et arabe, Mohamed Rouicha était présent au festival dans la ville , tenu en parallèle avec le festival de Fès des musiques sacrées du monde. Menara l’a rencontré. Il ne cache pas son amertume...
Le célèbre chanteur populaire, amazigh et arabe, Mohamed Rouicha était présent au festival dans la ville, tenu en parallèle avec le festival de Fès des musiques sacrées. Menara l’a rencontré. Rouicha, ayant marqué l’histoire de la musique populaire marocaine, voile à peine ses mots pour dénoncer la situation dégradante des artistes marocains.
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